Le mois de mars a de nouveau été volatile pour les spreads des pays émergents, la guerre en Ukraine ayant entraîné de forts élargissements au début du mois. Ce mouvement a été exacerbé par les sorties de capitaux de la classe d'actifs et les ventes forcées sur les émetteurs russes. Les investisseurs ont également anticipé une très forte probabilité de défaut sur les crédits souverains et les entreprises russes, ce qui a contribué à maintenir un niveau élevé de l’incertitude liée à l’ensemble de la dette émergente.